La saga de la démolition du Clémenceau, ce porte-avion de la marine qui a fait de multiples allers-retours entre l'Asie et l'Europe pour trouver un chantier adapté, a défrayé la chronique entre 2003 et 2010, en mettant en lumière les enjeux de la fin de vie des navires. Aujourd'hui encore, alors que le nombre de navires à traiter atteint des records, la plupart d'entre eux sont envoyés en Asie où les conditions de protection de l'environnement et de la sécurité des travailleurs sont largement insuffisantes.
Un article à lire sur le site de Novethic
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